Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
LE REFERENTIEL DE NAISSANCE ...De l'âme en lames
Publicité
Derniers commentaires
LE REFERENTIEL DE NAISSANCE ...De l'âme en lames
31 mars 2018

Référentiel de Naissance ( né sens ) de Serge GAINSBOURG

 

webmail 

 

 

R

 

 

EFERENTIEL DE NAISSANCE DE SERGE GAINSBOURG, le Génial Aquaboniste  : 

 

né à Paris, le 2 avril 1928 de Joseph Ginsburg et Olia Besman

 

 

 Gainsbourg

 

« J’AI TOUT REUSSI… Sauf ma vie »

 

 

Je souhaiterais introduire l’étude du référentiel de naissance de Serge Gainsbourg par la constatation cynico-réaliste de celui qui a tout investi pour la gloire, dans le rôle parfois surjoué de «  showmen », se mettant en scène de façon excessive voir même pathétique ou insupportable.

 

Dès lors on peut s’interroger sur le fait de savoir si ce choix était délibéré ou déterminé : réussir sa vie lui paraissait-il relever d’un bonheur trop ordinaire, trop commun  au point d’un certain mépris ? ou bien certaines énergies n’ont pu être opérationnelles car non canalisées ? A t’il été aux commandes ou victime de lui-même ? 

Serge se révèle être d’une grande lucidité, celle là même qui le fait ironiser face aux circonstances les plus graves de sa vie, toujours par arrogance face à  l‘incontournable pour feindre quand même la maîtrise...il était prêt à tout pour ne pas être commun, même être malheureux " mieux vaut ton absence que ton indifférence"...

 

Toute sa vie  la chanson est restée pour lui «  un art mineur » alors que la peinture était un "art majeur ".alors il a choisi d'être un « faiseur de chansons tristes qui dit toujours à quoi bon à quoi bon »...

 

 

16mais1

 

 

Maison-Dieu en maison 7 : LE DEFI !

  

Surmonter cet incontournable ego, sortir de la tour d'ivoire construite par ses exigences intransigeantes. Il ne fera jamais le deuil de sa peinture et en lui ont toujours  cohabité deux personnages symbole de la lutte incessante du petit gars bien sage et du gainsbarre le déjanté pervers.

 

Il dira d’ailleurs parlant d’un de ses héros de roman Evgénie Sokolov "Evguénie, c'est un type qui se détruit sciemment parce qu'il veut la gloire et la gloire le détruit, donc c'est quelque part autobiographique"

 

Cette Maison-Dieu renferme également tous les complexes physiques qui ont paralysé  Gainsbourg une partie de son adolescence jusqu’à l’âge adulte ( l’homme à la tête de chou ). Gainsbourg a réussi a transcender un complexe physique qui l’a beaucoup gêné dans ses débuts et qui l’a fait inlassablement partir à la conquête de femmes très belles et reconnues pour leur physique « Je suis laid mais je plais aux femmes »

Avec l’intelligence et l’art de la manipulation qui le caractérise il appris à séduire puisqu’il ne  pouvait plaire et à faire de ce qui était au départ un handicap majeur a servi de tremplin à son pouvoir de séduction : «  la laideur a ceci de supérieur à la beauté, c’est qu’elle dure ».

 Ainsi en bon double Mat : Soit il assume sa différence et devient quelqu’un d’unique, soit il en souffre et se marginalise.

 

amoureuxLa Maison 6 – Maison des Ressources : L’AMOUREUX

 Il est obsédé par l’amour  les gainsbourg girls se sont succédées chaque histoire laissant la place à une autre ( 4 grandes histoires de 10 ans environ chacune ). L’amour est un moteur, il ne pouvait travailler avec des êtres sans en être amoureux . Il est passé par des périodes de romantisme exacerbé qui l’ont conduit à de grandes souffrances et poussé parfois à : détruire, à se réfugier dans son défi Maison-Dieu.

Serge, dans ses ressources, possède des qualités innées de douceur, de sensualité, l’aspect doux-rêveur romantique,  il est un amoureux éternel chez qui la Maison Dieu vient parfois un peu comme un tremblement de terre, fissûrer son équilibre.

La violence de cette maison dieu se situe pour moi dans l’énorme exigence de son incommensurable ego, il ne tolère aucune demi-mesure, au point de s’amputer de peindre puisqu’il ne peut atteindre ses objectifs artistiques.

Peindre pour son plaisir n’est pas suffisant et il détruira la quasi-totalité des toiles peintes.

La ressource d’amour ( amoureux m6 ) est suffisamment opérationnelle si elle est plus forte que l’instinct de destruction qui surgit à chaque fois que l’ego est touché ou blessé. Gainsbourg envisage les choses de la façon suivante «  dans mon domaine soit tu as du talent soit du génie » mais pour lui, le talent ne suffit pas, le formatage éducatif lui interdit de s’en satisfaire et tout ce qui ne comporte pas son label intellectuel est déprécié.

Par ailleurs l’énorme contradiction sur laquelle repose son personnage fera que pour répondre à des préoccupations purement lucratives il fera des chansons ou des pubs  commerciales sans souci de la dimension esthétique de son œuvre.

  

Il a donc puisé dans son amoureux l’énergie nécessaire pour convertir ses complexes et a séduit les plus belles femme de son époque avant même d’être célèbre ( Michèle Arnaud, Juliette Greco, Brigitte Bardot …) plusieurs témoignage font état d’un charme irrésistible.

Voici l’illustration du combat M6/M7, le triomphe de la ressource sur le défi.

Grâce à ce magnétisme il a eu le flair et l’art d’être le Pygmalion unanimement reconnu, le regard qu’il avait sur les femmes anticipait leur réussite. 

C’est avant tout un esthète contemplatif qui pourrait passer sa vie entière dans la l’observation passive de la beauté.

La perception du caractère éphémère de l’intensité donc du caractère mortel de chaque choses, a pu le faire plonger dans la maison dieu, c’est à dire fuir le bonheur de peur qu’il ne se sauve au lieu de le suivre car ce bonheur là ne peut être éternel donc me fera souffrir.

La conception du temps est du coup faussée, fait pour l’éternité mais pas pour l’éphémère GAINSBOURG en a souffert, d’ailleurs pour conjurer cette crainte, il dira GAINSBOURG n’a pas attendu d’être mort pour être immortel…

 La m11 l’arcane sans nom lui rappelle sans cesse la présence inéluctable de la mort et son côté provocateur n’a pu que devancer ce qu’il savait être incontournable. Ultime coup de son décidément encombrant ego.

 

180px_Juif_errant

Gainsbourg_guignol

« Docteur Jekyll il avait en lui
Un Monsieur Hyde qui était son mauvais génie
Mister Hyde n'disait rien
Mais en secret n'en pensait pas moins »

 

( Dr Jekill)

 

 

 

Un peu de biographie :

 Essayons de voir comment les symboles de son référentiel s’inscrivent dans sa biographie et dans son œuvre.

  

Année d’ensemencement 1934 : il a 6 ans  année où Joseph trouve une place au Cabaret «  AUX ENFANTS DE LA CHANCE » qui donnera plus tard le titre d’une de ses chansons à Serge ; année durant laquelle la famille s’installe dans le IXème, Rue Chaptal ; année où il commence le piano avec son père, dans la douleur, la contrainte et l’humiliation quotidienne d’un père qui projette ses ambitions sur lui.

 Dans ce quartier le petit Lucien fera une rencontre avec Fréhel ( à la vie sentimentale désastreuse  qui sombrera dans l’alcool se sera son premier contact avec le show-business.

 

M2 : la quête du père lui fera ne jamais dévaloriser ce père parfois humiliant à qui il a toujours trouvé des circonstances atténuantes.

 Je n’ai pas trouvé de chanson parlant de son père. Concernant la relation père-fils, il n’a pas voulu éduquer Lulu musicalement et a pris un percepteur.

 

 

04empLa Maison 2 – Maison de la quête : L’EMPEREUR

 

 Marque bien sa recherche incessante de créer son empire et d’y régner.

 Il cherche des limites qu’il s’empresse de dépasser :

 Je connais mes limites c’est pourquoi je vais au-delà !

 Sa quête de stabilité est quelque peu en décalage avec le Mat car en même temps il y a le désir de vouloir se fixer, s’arrêter, cette quête du territoire est en relation avec la fuite des ses parents devant le bolchévisme, et est souvent en relation avec les problématiques de déracinement ;

  

ARCANE13«  mon berceau fut si près de mon cercueil que je faillis ne pas naître »

 

 

Il vient au monde par l’ARCANE 13 en M11, projet parental, 2èmegarçon survivant d’une fratrie de 4 enfants, son frère ainé Marcel est mort de maladie à 16 mois ( 16 en m7 : défi à surmonter l’auto-destruction ), puis jacqueline et lui même faux-jumeaux de Liliane ( sa mère lui confiera qu’elle a failli avorter mais s’est rétractée devant l’état répugnant des lieux où devait se passer l’avortement ) .

L’arcane 13 en m11 résurgente dans beaucoup de ses textes, rappelle un état dépressif profond dont le cynisme n’est qu’une couverture qui sert au fond à dédramatiser sa vision des choses et il arrive en quelque sorte en faire de la noirceur de son âme une sorte de carte de visite..

Cette 13 est très marquée chez lui car à 13 ans il a faillit mourir d’une péritonite tuberculeuse mortelle dans 99% des cas

 

Gloomy sunday

Je crèverai un sunday où j'aurais trop souffert
Alors tu reviendras mais je serai parti
Des cierges brûleront comme un ardent espoir
Et pour toi sans effort, mes yeux seront ouverts
N'aie pas peur mon amour s'ils ne peuvent te voir
Ils te diront que je t'aimais plus que ma vie
Gloomy sunday


Serge avait un goût presque morbide pour les univers figés, une fois qu’il avait trouvé ce qu’il pensait être la place d’un objet il ne tolérait que difficilement qu’on le déplace. Dans l’univers qu’il s’était constitué il n’y avait de place que pour lui-même. Difficulté avec la transformation.

L’amour, inévitablement voué au risque de n’être plus partagé, fait également l’objet de ce fantasme de fixité et certaines chansons mettent en scène la mort en toile de fonds de l’amour.

Les plus belles amours finissent dans ses chansons sur fonds dramatique :  Bonnie & Clyde, Sorry Angel, Marilou sous la neige,

 

La ballade de Melody Nelson

 

 

Elle avait de l'amour

 

Pauvre Melody Nelson

 

Ouais, elle en avait des tonnes

 

Mais ses jours étaient comptés

 

Quatorze automnes

 

Et quinze étés

 

 

«  le danger c’est la conscience de la Mort »

L’ennemi a été indiscutablement la mort, elle a été omniprésente dans sa vies, ses pensées,  son œuvre et ses actes, dans une pulsion encore très égotique, on pourrait dire qu’il n’a pas eu l’humilité d’attendre qu’elle vienne le chercher mais est parti à sa rencontre, l’a devancée mais GAINSBOURG n’a pas attendu d’être mort pour être immortel

 

Cette chanson aux arrangements de JC VANNIER sont une merveille de finesse le même JC VANNIER a signé, entre autre évidemment, les arrangements de PLUME D’ANGE de NOUGARO et la magnifique BOF du Film UN ETE 42.

 

20jug

Tout de suite au-dessus du message sous-jacent de mort, se place le jugement nécessité de renaissance, de ressusciter, de trouver un moyen de s’extirper de la culpabilité d’être vivant alors que le frère ainé lui est mort, le Jugement, l’éveil artistique a été la motivation, être le meilleur pour exister, pour exorcicer un complexe d’angoisse, d’anxiété et de culpabilité.

 

En même temps il pense en musique, il parle la musique, il voit le monde en musique

L’objet de toutes ses préoccupations, M3 ; Gainsbourg a touché à tous les styles musicaux en même temps il a été élévé dans une ouverture artistique exceptionnelle

 

 

La maison 1 - maison de la personnalité : LA PAPESSE

 

 

Il fut un accoucheur de talent, compositeur qui créa surtout pour les femmes, il leur a ouvert le livre de son âme où il puisait ses créations.

 

Sensibilité féminine qui renvoie à la notion de la femme en tant que MERE.

 

 

La Papesse se retrouve au Cœur du Blason, c’est à dire dans la problématique essentielle de Serge, cette maison associe les deux aspects contradictoires d’un arcane.

 

 

CŒUR DU REFERENTIEL : La Papesse

 

 

-          La relation à la mère fut distante

 

relation aux femmes de type « misogynie », empreinte d’un certain dédain cachant peut être la peur de souffrir par elles, nourrissant parfois un fantasme  de mort.

Lle fait d’écrire a pour lui une fonction thérapeutique qui l’exorcise de sa peur de la mort « Je composerai jusqu’à la décomposition » sous entendu tant que j’écris je suis en vie.

Maison 4 : L’ETOILE

 

«  je suis né sous une bonne étoile jaune »

 

                                      

  17etoi200px_Etoile_Jaune_IMG_0942

 

 

 

L’étoile dans ce chemin de vie est la manifestion de la chance et de la protection qui ont été opérationnelles tout au long de son parcours, notamment lors d’une rafle anti-juif à laquelle il réchappera et qui lui fera dire la phrase ci-dessus.

 

Dans les années 70 il arborera une étoile de David en platine de chez Cartier pour conjurer cette période de guerre dont il parle très peu.

 

Il a écrit un livre «  Mauvaises nouvelles de s Etoiles » préfacé comme tel :

  Dans un art mineur comme le mien, les tireurs d´élite n'auront jamais que du talent".

 Titre emprunté à un tableau de Paul Klee

 Un album a également été enregistré dans lequel il a écrit plusieurs textes sur les juifs

 «  juif et Dieu », ton grinçant comme à l’usuel

  Au-delà de cet aspect symbolique relié à l’étoile jaune très important chez Gainsbourg, il y a la notion de trans-personnalité présente dans cet arcane, car invitation à se connecter à quelque chose de transcendant. et, évidemment à dépasser axé sur le mode égotique, ce qui chez lui est un défi, puisque cela demande d’expérimenter  la vie sans le moi

En même temps ce chemin de vie traduit toute son attirance pour l’esthétisme, la beauté, la féminité. Gainsbourg est un pygmalion, il met en valeur ce qu’il y a de plus beau à montrer.

 La notion d’allégeance ( genou à terre ) savoir plier plutôt que se rompre, peut marquer en corrélation avec l’incontournable défi de la maison dieu, un conflit de soumission.

 

Evidemment cette étude n’est pas exhaustive, ce référentiel sera complété au fur et à mesure de mes recherches.

 « Je connais mes limites c’est pourquoi je vais au-delà »

 

Magnifique définition du Mat car la problématique de ce personnage c’est bien de trouver ses limites car si Gainsbourg peut séduire par sa finesse et sa virtuosité il peut aussi exaspérer par son cynisme et sa vulgarité.

 A l ‘origine, ce Mat prend racine dans les origines de «  juif errant » de Serge, depuis avant sa conception ses parents ont dû fuir un antisémitisme grandissant et n’ont pu poser leurs bagages. Poser c’est bagage c’est en finir avec la malédiction de l’errance.

Le territoire est mal défini, non acquis et insécurisant, l’errance est le signe d’une faute alimentant un sentiment de culpabilité latent, mais transmutée l’errance est l’adaptabilité, la liberté, l’indépendance., c’est un peu la différence entre «  je suis bien partout» et « nulle part je ne suis chez moi »

  Gainsbourg disait «  j’ai besoin d’être toujours en mouvement, au premier arrêt image je sais que je vais crever »

 Quelle différence dès lors entre en faire trop et pas assez  tant que Gainsbourg a joué l’originalité il a conservé un cadre lorsqu’il est tombé dans la marginalisation il est devenu gainsbarre ( gains s’est barré ), caricature de lui-même,

 Ses mats m9/m10 peuvent donner du sens à ses crises de delirium qui ont fait que les femmes qui l’ont aimé ont pu être à un moment contraintes de fuir pour sauver leur peau, comme l’explique Jeanne Birkin, qui le quitte «  à bout » car comme «  l’amour physique » est sans issue puisqu’il ne peut fusionner totalement avec l’autre.

 Il ne peut donner une limite à son cynisme et à son instinct de destruction ne pouvant tuer matériellement il tue symboliquement  en saccageant la relation et lui-même.

 

 

«  je pratique la politique de la femme brûlée, je brûle toutes celles que j’ai adorées »

 

Au pays des malices

 

 La seule façon qu’il a pu trouver pour survivre à ce départ c’est de laisser la place à Gainsbarre, c’est à dire de laisser la place au cynisme, à la destruction, il lui écrira un album magnifique en guise d’adieu «  Baby alone in Babylone »

 Ils resteront toujours liés artistiquement

 S’il tombe dans l’ambition démesurée de son ego il se détruit car il se fige dans un modèle de perfection qu’il ne peut atteindre et dont il ne peut sortir qu’en cassant

 

 

Etre libre c’est idéalement être conscient et s’affranchir de tout ou partie de ses conditionnements génétiques, psychologiques et sociaux. Serge avec son Mat en M9 a potentiellement  la possibilité de s’extirper de son enfermement mental ce qu’il réussit parfois mais succombe  à l’embuscade tendu par l’ego de la Maison-Dieu par manque de frontière entre le réel et le fantasme.

Un sens de la dérision qu’il partagera avec Boris VIAN ( même miroir M9/M10 ) funambulisme existentiel,. Tous deux ont eu durant l’enfant des problèmes de santé qui leur ont fait frôlé la mort, Serge à 13 ans ( la 13 en nœud sud ) péritonite tuberculeuse et Boris à 12 ans( problèmes cardiaques ) tout deux mourront de n’avoir pris leur pilule pour le cœur.

La dialectique Mat M9/m10 pourrait être traduite comme telle : L’être original, anticonformiste et innovateur se révèle lorsque je transcende le personnage englué dans l’immense attraction de ma provocation macabre expérimentale, car banalisée par la répétitivité dans le vécu en fait lorsque je ne peux trouver en moi les ressources pour dépasser le seuil du connu, représenté par mes croyances et mes expériences.

 

Le danger de la maison 10 est la banalisation de l’échec par l’acceptation du vécu et de l’expérience répétée, ce n’est pas une maison négative en soi mais nous la connotons par notre vécu.

 

Le premier questionnement par rapport à un référentiel est de savoir où en est le consultant avec ses « enchevêtrements familiers », ses potentialités, a –t’il conscience de ses ressources, les utilise t’il : un peu, beaucoup, passionnément … ? La personne est-elle dans la maîtrise ( action en conscience ) ou est-elle engluée dans les différentes strates répétitives de ses aliénations ?

 

 

Sans la conscience le genre humain joue à la brasse-coulée énergétique «  je sors la tête de l’eau, je respire et je replonge un petit coup ! mais avec la découverte de la synchronisation de la respiration l’homme s’adapte à son environnement. On peut considérer qu’une des clés de la synchronisation est la connaissance de soi.

 

 

Tout se joue dans l’équilibre de cette dualité( GAINSBOURG/GAINS-BAR-TABAC) tant qu’il a su gérer son funambulisme émotionnel les deux mats ont pu cohabiter sans que l’un ne prenne le pouvoir sur l’autre, la bascule a été le départ de Jane, écorché vif émotionnellement le désordre schizophrénique a pris la place à la recherche d’un ordre quasi-académique dans la recherche des textes et de la musique  et une décadence quasi apocalyptique dans son comportement … exit gainsbourg

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité